Collections

Avant les collections, avant les projets sur mesure, il y a eu ces quelques pièces, sorties du chaos.


Dans ce prologue, en constant renouvellement, vous retrouverez les bijoux orphelins, ceux qui, bien souvent, façonnent la suite des événements: des pièces uniques, limitées ou les prémices de futurs chapitres.

Prologue.

Il y a des histoires que l’on raconte et que l’on transmet à travers le temps.
De nombreux symboles ont marqué des générations, se sont évanouis pour renaître, mystérieux et libre d’interprétations ou au contraire chargés d’échos.


Les bijoux ont une importance inestimable dans cette transmission, élément à part entière de l’héritage, à l’échelle d’une famille ou d’une civilisation.

Chapitre I : Héritage.

Du moyen-âge jusqu’à la renaissance, les bijoux étaient, la plupart du temps à connotation religieuse. En opposition, les bijoux dit « Profanes » étaient eux, assimilés à la nature.


L’âme de cette collection émane avant tout de l’ornementation végétale, les inspirations de chacune des pièces sont diverses: architecturale, sculpturale ou bien occulte.

Chapitre II : Profane.

“« Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.
Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil?
Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.
[ … ]
Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil.
S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.
On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard. »

Chapitre III : Vanités.